Cette année ce sera un jeudi. Ce jeudi. Mais il y a 2 ans, c’était un mardi. Un mardi bien ordinaire pour la majorité des gens. Mais pour toi, c’était ton dernier mardi.
Depuis bientôt 2 ans, il n’y a pas une seule journée où je ne pense pas à toi. Chaque jour. Et tu sais quoi ? Quand tu étais là, je pouvais être des jours sans penser à toi ! C’est si stupide ces ironies de la vie.
On prend pour acquis qu’en terminant une journée, la journée suivante sera à peu près pareille. Puis un jour ça change. On le savait, sans le savoir. Sans vouloir le savoir ?
Bref, tu me manques ma petite maman. Et j’ai le coeur gros ces jours-ci …
Je t’aime.